Le 2 avril 2007 un habitant de Deir El Qamar m’a demandé si je pouvais l’accompagner à Jezzine dans une usine de dalles. Je lui ai répondu pourquoi pas, surtout que je n’avais jamais visité Jezzine. Arrivé à l’usine, j’ai vu le propriétaire en train de travailler un grand autel.
Combien coûte cet autel lui demandais-je ?
Il m’a répondu : « Mon père, je n’ai pas calculé les frais. C’est une offrande et je dois le terminer vite ».
Nous avons quitté l’usine vers une autre. Sur le chemin je me disais à haute voix : « s’il y avait quelqu’un qui pouvait nous offrir comme offrande un autel pour le sanctuaire ».
Arrivé à la deuxième usine, mon ami a acheté ce qu’il voulait. A la sortie de l’usine, le propriétaire m’interpella et me demanda : « Et vous, Mon père que demandez-vous ? ».
Nous étions près d’un autel. Je lui répondis : « combien coûte un autel semblable? ».
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